Quand des chrétiens invitent des réfugiés musulmans à découvrir Noël
Quelques derniers échos de 2015, dont une jolie surprise. Des réfugiées musulmans (en majorité) son invités à découvrir une tradition culturelle chrétienne.
Quelques derniers échos de 2015, dont une jolie surprise. Des réfugiées musulmans (en majorité) son invités à découvrir une tradition culturelle chrétienne.
Ce n’est pas seulement au Moyen-Orient que les chrétiens font face à des persécutions. Dans l’immense Indonésie, le plus grand pays musulman, l’intégrisme poursuit son œuvre. En octobre, deux églises ont été attaquées et brûlées dans la province d’Aceh. Et en Malaisie, les menaces se multiplient.
Céline Zünd dans Le Temps annonce à ses lecteurs que «La droite pamphlétaire étend sa toile en Suisse». Et ceci par le biais d’une dizaine de blogs individuels et de sites. Devant cette force de frappe, le champ médiatique tremble!
Ali Sina, ex-musulman iranien, explique dans "La psychologie de Mahomet et des musulmans" comment les hommes peuvent se soumettre sans limite à des leaders. Au cœur de son analyse: le prophète tant aimé.
Par Mia Vossen
Le départ vers l’État islamique de jeunes élevés dans nos sociétés fait l’objet d’innombrables explications. L’une d’elles invoque leur manque de repères . Une autre notre absence de spiritualité.
Le foulard des filles à l’école ne pose pas de problème, soyons tolérants et respectons la liberté religieuse et les droit des enfants. Des valeurs invoquées par les juges, que dément avec force la famille concernée.
Il est encore possible en Suisse d'exprimer des idées et d'amener des constats qui contredisent les rassurants propos dont nos médias et notre élite en général sont si prodigues face aux communautés musulmanes. C'est le cas ce jeudi 10 décembre avec mon "opinion" publiée dans Le Temps, versions papier et électronique:
http://www.letemps.ch/opinions/2015/12/09/mosquees-lit-terrorisme
Ces exceptions sont cependant réservées à des "Tribunes libres". Il n'est pas question que les personnes qui défendent ces idées deviennent des interlocuteurs. Les médias n’auraient pas non plus l'idée de s'adresser aux analystes remarquables (et pas spécifiquement sur l’islam, mais aussi) que sont par exemple Stéphane Montabert et Philippe Barraud.
Les bienpensants qui ne représentent qu'une fraction souvent minoritaire de la population défilent, eux, en flots continus dans les colonnes et sur les ondes, répétant les mêmes litanies. La radio romande et son invité de 7h40, représentent (représentaient vu la nouvelle conjoncture?), à propos de l'afflux de réfugiés, un exemple indépassable. En fait d'analyse, ils nous ont régulièrement amenés à l’indigestion de bons sentiments. Mais au lieu de rééduquer les citoyens qui pensent mal, comme l'espèrent nos petit reporters, ils en exaspèrent un nombre croissant.
Quant aux communautés musulmanes, il serait temps qu'on ne se contente pas d’aller poser un micro sous le nez des responsables, mais qu'on s'intéresse à ce qu'ils enseignent, aux livres qu'ils vendent et recommandent, à la séparation des sexes dans les mosquées, à la question de savoir pourquoi ils créent tant de services destinées à leurs coreligionnaires, en particulier aux enfants, comment ils concilient les injonctions intolérantes et parfois inhumaines de leurs textes et leurs appels à la bonne entente entre religions. Entre autres...
L’offensive des intellectuels intégristes et progressistes pour le foulard bat son plein. Au moment où un groupe valaisan gaucho-musulman monte au front pour imposer les filles voilées à l’école, une nouvelle exposition genevoise tente de nous faire perdre tout esprit critique vis à vis du couvre-chef islamique.