Que veulent les dissidents du parti socialiste suisse sur l’islam?
Un groupe vient de se constituer. Il préconise quelques mesures bien concrètes pour limiter l’islamisation de la Suisse, mais navigue encore passablement dans le brouillard.
Un groupe vient de se constituer. Il préconise quelques mesures bien concrètes pour limiter l’islamisation de la Suisse, mais navigue encore passablement dans le brouillard.
L’obsession de cacher son corps aux hommes jointe à des comportements de conquérantes mal élevées produisent des conflits sans fin.
Le voile à l’école doit être autorisé, liberté religieuse oblige. La République des juges a tranché, le peuple n'a rien à dire.
L’auteure réfute l’idée d’un Coran incréé, celle d’une charia valable aujourd’hui encore et exhorte à l’examen des textes qui appellent à la violence et à la discrimination.
Le Centre suisse islam et société invite une auteure qui retraduit, rectifie et nous fait découvrir le véritable message du Coran et du prophète.
Les humeurs de Sophie
Des chercheurs applaudis par la Commission fédérale contre le racisme viennent d’inventer un nouveau concept de Novlangue: «créer de la distance».
Créer de la distance signifie rapporter des méfaits ou des crimes, ce qui par ricochet devrait entacher tous ceux qui sont liés de près ou de loin à ce qui a causé ces crimes ou ces méfaits.
Par exemple, si vous rapportez que la radicalisation islamiste progresse en Suisse, vous «créez de la distance» avec les musulmans. Si vous parlez d’un attentat islamique, là aussi vous «créez de la distance» avec les musulmans.
Mais attention : ceci ne concerne que les méfaits ou les crimes commis au nom de l’islam.
Car bien entendu, si vous parlez négativement de Poutine, d’Orban, de Trump, des Birmans ou des prêtres catholiques pédophiles, cela ne crée pas «de la distance» avec les Russes, ou les Hongrois, les Américains, les Birmans ou encore les catholiques. Non, c’est seulement si vous rapportez, et ceci même avec maintes périphrases, les crimes commis au nom de l’islam, que vous entrez dans une nouvelle catégorie qu’il s’agit de combattre: celle de ceux qui créent de la distance avec les musulmans et l'islam.
Et attention, la Commission fédérale contre le racisme entend «poursuivre le dialogue avec les journalistes et leur rappeler leur responsabilité dans la formation de l’opinion publique». Oui vous avez bien lu: la CFR a décidé de mettre au pas ceux qui osent encore rapporter la radicalisations de certains, car les journalistes auraient pour mission d’islamiser les Suisses en leur parlant uniquement positivement de l’islam.
Nos journaliste doivent maintenant écrire des articles sur Naïma notre gentille voisine qui fait le ramadan et a perdu 5 kilos. Mais pas sur Abu Ramadan qui a prêché la haine des non musulmans, par ce que ça «crée de la distance». Et quand tous les journaux auront fait faillite parce que nous ne lisons pas des journaux pour nous désinformer, est-ce que les journalistes au chômage seront réengagés par la Commission fédérale contre le racisme? Si oui, chers amis, cela vaut la peine de faire encore un petit effort, je suis certaine que ça paie mieux que les piges.
Sophie
Après les reportages dans les territoires disputés de Gaza et de la Cisjordanie, les médias nous ont invités à pleurer sur les dégâts qu’engendre la suppression de l'aide états-unienne à l'UNRWA en… Jordanie. Ce pays compte parmi ses habitants une majorité de descendants de "Palestiniens" (peuple inventé en 1967) qui s’y sont réfugiés lors des guerres de 1948 et 1967. Leur hostilité au pouvoir a été une menace sérieuse pour le régime qui a exercé une répression féroce contre eux en 1970, connue sous l’appellation de «Septembre noir».
Dans un contexte totalement surréaliste, il existe aussi dans ce pays dix «camps» (parfois devenus des villes) qui abritent 280'000 habitants jouissant du statut de «réfugiés» de père en fils depuis 70 ans. Ils bénéficient des services de l’UNRWA (écoles, santé) et non de ceux de la Jordanie.
Cette nation, comme d’autres (Liban, Syrie) abrite ces sortes de réserves palestiniennes à usage politique. Plus généralement, pour empêcher toute intégration des Palestiniens, les amis arabes les ont gratifiés de discriminations effarantes.
Le plus grand contributeur de l’UNRWA est-il l’Arabie saoudite, le Qatar, les Émirats? Non, c’étaient les États-Unis. Ils finançaient leurs ennemis jurés, à savoir des dizaines de milliers d’employés palestiniens dont la plupart sont obsédés par l’idée d’éradiquer Israël, et vilipendent à journée faite son allié américain.
Il arrive que l’imprévisible Trump prenne des décisions d’une parfaite logique.