Une fondation entend récolter la «zakat» et la consacrer à des projets communautaires en Suisse. Il suffit de faire confiance à son fier initiateur… Connu pour son intégrisme.
le temps
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Lorsque Le Temps se fait avoir par un intégriste
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Médine, Le Temps et moi
Le bien nommé Florian Delafoi (et non de l’intégrité) consacre un article à notre action contre la venue du rappeur. De son côté, la municipalité de Lausanne autorise le concert.
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Le succès de Tariq Ramadan? La faute aux médias
Le Temps nous apprend que pour certains, ce ne sont pas d'abord les musulmans qui ont célébré Tariq Ramadan… Et il nous conduit à une belle découverte.
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Le morne Temps des femmes
Pour marquer le 8 mars, Le Temps donnait ce lundi la parole aux femmes. Presque uniquement des femmes, une quarantaine. Pas gaies!
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Chrétiens en pays d’islam: pourquoi tant de haine?
Tribune libre parue mercredi 4 mai dans Le Temps au sujet d'un problème tragique. Il nous ramène comme d'habitude au refus des religieux et responsables musulmans d'accepter le débat lorsqu'il concerne le contenu de leurs textes.
Les intertitres ont été ajoutés par le journal.
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Le Tribunal de la pensée tient audience au Temps
Céline Zünd dans Le Temps annonce à ses lecteurs que «La droite pamphlétaire étend sa toile en Suisse». Et ceci par le biais d’une dizaine de blogs individuels et de sites. Devant cette force de frappe, le champ médiatique tremble!
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Les mosquées font-elles le lit du terrorisme?
Il est encore possible en Suisse d'exprimer des idées et d'amener des constats qui contredisent les rassurants propos dont nos médias et notre élite en général sont si prodigues face aux communautés musulmanes. C'est le cas ce jeudi 10 décembre avec mon "opinion" publiée dans Le Temps, versions papier et électronique:
http://www.letemps.ch/opinions/2015/12/09/mosquees-lit-terrorisme
Ces exceptions sont cependant réservées à des "Tribunes libres". Il n'est pas question que les personnes qui défendent ces idées deviennent des interlocuteurs. Les médias n’auraient pas non plus l'idée de s'adresser aux analystes remarquables (et pas spécifiquement sur l’islam, mais aussi) que sont par exemple Stéphane Montabert et Philippe Barraud.
Les bienpensants qui ne représentent qu'une fraction souvent minoritaire de la population défilent, eux, en flots continus dans les colonnes et sur les ondes, répétant les mêmes litanies. La radio romande et son invité de 7h40, représentent (représentaient vu la nouvelle conjoncture?), à propos de l'afflux de réfugiés, un exemple indépassable. En fait d'analyse, ils nous ont régulièrement amenés à l’indigestion de bons sentiments. Mais au lieu de rééduquer les citoyens qui pensent mal, comme l'espèrent nos petit reporters, ils en exaspèrent un nombre croissant.
Quant aux communautés musulmanes, il serait temps qu'on ne se contente pas d’aller poser un micro sous le nez des responsables, mais qu'on s'intéresse à ce qu'ils enseignent, aux livres qu'ils vendent et recommandent, à la séparation des sexes dans les mosquées, à la question de savoir pourquoi ils créent tant de services destinées à leurs coreligionnaires, en particulier aux enfants, comment ils concilient les injonctions intolérantes et parfois inhumaines de leurs textes et leurs appels à la bonne entente entre religions. Entre autres...
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Le niqab au Tessin: nos valeurs avant le tourisme
Tribune parue dans les pages "Débats" du Temps le jeudi 2 avril.
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Le Temps vole à la rescousse des musulmanes victimes du terrorisme
Comme je l’ai déjà souligné, après les martyrs de la liberté d’expression, les médias se tournent vers d’autres victimes: les musulmans pieux. Le Temps de ce vendredi 23 janvier nous en donne une magnifique illustration avec un article intitulé: «Nous sommes aussi des victimes des terroristes».
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Comment traiter l’auteure de propos ignobles ? Le choix du Temps
Quel genre d’article faire après les propos abjects d’une étudiante sur la victime d’un acte terroriste? Le Temps a choisi: aller demander à son auteure ce qu'elle ressent après avoir été démasquée.