Les associations vaudoises musulmanes combattent discrètement l’extrémisme
Le plan national contre la radicalisation et l’extrémisme a versé une généreuse contribution à un organisme de l’UVAM qui œuvre au bien-être des jeunes musulmans.
Le plan national contre la radicalisation et l’extrémisme a versé une généreuse contribution à un organisme de l’UVAM qui œuvre au bien-être des jeunes musulmans.
Cette année, la Police fédérale finance seize programmes de prévention de la radicalisation. Le nôtre a été recalé.
Surtout, surtout, n’imaginez pas que l’islam y est pour quelque chose.
Le Centre islam et société explique que toutes les activités des associations islamiques servent la prévention. Corollaire: il faut professionnaliser et financer les militants qui y travaillent.
Les initiatives destinées à dissuader d'emprunter des chemins sanglants se multiplient. Les méthodes varient, mais ont un interdit commun: l'islam.
Notre quotidien, parfois préféré, nous gratifie d’une enquête destinée à rassurer sur le danger de radicalisation des jeunes musulmans. Elle révèle entre autres que les apprentis jihadistes sont en fait des humanistes.
L’enquête de la Tribune de Genève fin août nous a fait découvrir l’extrémisme de la plus grande mosquée de Suisse (3000 fidèles le vendredi) muée en recruteuse de djihadistes. Et le 2 octobre, Le Temps lancé sur «la piste de l’islam radical» a élargi la problématique. Le constat est alarmant.
N.B: Cet article développe le texte paru dans la Tribune, où Hafid Ouardiri s’exprime sur le même sujet.